En Suisse, nombreux sont ceux qui, en dehors de leur travail et des tâches ménagères, accordent librement et sans être réellement payés du temps au bien-être de la communauté. Une étude de 2016, menée conjointement par la Société suisse d’utilité publique (SSUP) et l’Institut d’études politiques de l’université de Berne, montre que le bénévolat tend à se restreindre. C’est, par exemple, le cas dans les associations et les organisations. Le bénévolat informel – tel celui de proximité ou l’assistance – suit une tendance plus difficile à appréhender. Même si l’on compte plus de personnes actives dans ce domaine qu’il y a cinq ans, elles y consacrent toujours peu de temps.